Pendant une semaine, une grande partie des collèges du département ont résonné de désinences latines : pour la première édition des « Jeux latins, tous les établissements proposant le latin comme option facultative à leurs élèves, avaient répondu favorablement et participaient à la compétition.
A l’initiative de cette première, Robert LABORIE, professeur de lettres anciennes et lettres modernes au collège tell Eboué de Saint-Laurent, qui a souhaité conduire dans notre département une action qu’il a menée pendant plusieurs années à Wallis et Futuna où il enseignait précédemment. A deux exceptions près, tous les enseignants sollicités pour l’organisation du concours ont accueilli avec enthousiasme le concept des « Jeux latins », aussi heureux que leurs élèves que soit mise en avant une discipline plutôt délaissée et actuellement menacée de disparition totale des collèges et lycées de France, conséquence directe de la diminution progressive des moyens alloués par les rectorats aux établissements secondaires.
Pour Robert LABORIE, le défi est de taille, et le premier objectif du concours est de pouvoir redorer, auprès des élèves et de leurs parents, le blason d’une matière scolaire qui risque donc d’être définitivement abandonnée faute de moyens.
A l’initiative de cette première, Robert LABORIE, professeur de lettres anciennes et lettres modernes au collège tell Eboué de Saint-Laurent, qui a souhaité conduire dans notre département une action qu’il a menée pendant plusieurs années à Wallis et Futuna où il enseignait précédemment. A deux exceptions près, tous les enseignants sollicités pour l’organisation du concours ont accueilli avec enthousiasme le concept des « Jeux latins », aussi heureux que leurs élèves que soit mise en avant une discipline plutôt délaissée et actuellement menacée de disparition totale des collèges et lycées de France, conséquence directe de la diminution progressive des moyens alloués par les rectorats aux établissements secondaires.
Pour Robert LABORIE, le défi est de taille, et le premier objectif du concours est de pouvoir redorer, auprès des élèves et de leurs parents, le blason d’une matière scolaire qui risque donc d’être définitivement abandonnée faute de moyens.
Selon un planning bien défini réparti sur toute la semaine, les collégiens latinistes de Guyane ont ainsi dû plancher par groupes de deux, pendant deux heures, sur une série de casse-tête allant du rébus à la devinette, une épreuve avant tout ludique qui a beaucoup plu aux candidats.
Ce sont les élèves du collège Tell-Eboué de Saint-Laurent qui ont clôturé la compétition samedi matin.
N’ayant pu bénéficier de véritables moyens pour cette première édition, M. LABORIE est actuellement en train de confectionner les diplômes, dans la plus pure tradition romaine, qui seront décernés à tous les participants lors d’une cérémonie qui aura lieu à Saint-Laurent au mois de juin prochain. Il ne désespère pas cependant de trouver d'ici là des partenaires prêts à offrir des lots aux lauréats de l’épreuve.
Encouragé par l’accueil très favorable et l’enthousiasme des professeurs et de leurs élèves, Robert LABORIE envisage d'ores et déja de rééditer les «Jeux latins » l’année prochaine.
Ce sont les élèves du collège Tell-Eboué de Saint-Laurent qui ont clôturé la compétition samedi matin.
N’ayant pu bénéficier de véritables moyens pour cette première édition, M. LABORIE est actuellement en train de confectionner les diplômes, dans la plus pure tradition romaine, qui seront décernés à tous les participants lors d’une cérémonie qui aura lieu à Saint-Laurent au mois de juin prochain. Il ne désespère pas cependant de trouver d'ici là des partenaires prêts à offrir des lots aux lauréats de l’épreuve.
Encouragé par l’accueil très favorable et l’enthousiasme des professeurs et de leurs élèves, Robert LABORIE envisage d'ores et déja de rééditer les «Jeux latins » l’année prochaine.